LA COURSE AUTOMOBILE OU L'AMOUR SUITE NOUVELLE
- Par GEORGES SURLEAU
- Le 24/01/2009 à 11:46
- Dans NOUVELLES ,ECRTS DE MA COMPOSITION
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Soudain , la porte s'ouvre et monsieur Girardely entre en souriant :<< Doucement mes enfants n'ayez pas peur ! J'ai entendu vos échanges de propos . Je serais ravi de connaitre les élus de vos coeurs . Je vois que vous vous aimez et si j'en crois ce que j'ai entendu ce sont des garçons très bien et courageux . je ne suis pas hostile a vos projets , car pour moi l'amour n'est pas une question de rang, d'age ou de fortune , mais juste de sentiments vrais réels et sincères contre lesquels il ne sert à rien de lutter sinon nous sommes malheureux.
Je vais vous apprendre quelque chose que votre mère et moi ne vous avons jamais parlé. Aujourd'hui , il est temps de vous le dire pour que vous compreniez bien le sens de ce que je viens de vous dire. J'ai connu votre mère dans l'usine de mon père , elle n'était qu'une femme de ménage tout en bas de l'échelle sociale , pourtant nous étions fous amoureux l'un de l'autre . Ma famille était contre notre mariage, nous n'en avons pas tenu compte et nous nous sommes unis devant Dieu et tous les hommes. Mes parents ont fini par apprécier cette femme et à l'aimer. Moi , je suis toujours aussi heureux avec elle qu'au premier jour. C'est unfemme , une mère , et une conjointe merveilleuse. Le bonheur n'a pas de préjugé social, raciste, ou de classe , c'est le coeur qui compte souvenez vous en .
Je ne pourrais vous faire qu'un reproche, c'est de ne pas vous être confié à moi. J'aurais pu agir autrement et les aider. Toi Juliette, tu as commis une grosse faute en donnant mon révolver à Jean; même si je sais que tu as cru bien faire . Je te pardonne volontier, mais comprend que c'était très dangereux, car quand il a tiré, s'il avait touché son agresseur il serait maintenant en prison et toi en larmes. Quand j'ai surpris votre conversation je venais te rapporter cette photo que tu as perdue dans mon bureau quand tu as pris cette arme. Allez soyez tranquille , je ne vous en veux pas. j'espère avoir bientôt la visite de vos futurs époux !
Martine et Juliette sautèrent au cou de leur père et l'embrassèrent en le remerciant bien chaleureusement
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